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Comment en finir avec le chômage et la précarité ?

Cette question est évidemment transversale et ne peut trouver de réponse qui ne fasse appel à toutes les autres : développement, politiques publiques (notamment en ce qui concerne les outils d’orientation de l’activité économique), action au niveau européen et même mondial, etc. Le caractère central de cette question nécessite d’en rassembler les axes majeurs, et de préciser les dispositifs spécifiques (moyens financiers, droits et pouvoirs sur les choix de gestion des entreprises, etc.) visant à lutter contre les licenciements, à développer la formation, à susciter la création d’emploi en cassant les logiques libérales de subventions aveugles aux entreprises et d’abaissement du “coût du travail”. Il s’agira tout particulièrement d’inscrire cette question dans l’affirmation d’un droit des salariés à une “ sécurité d’emploi et de formation” visant à éradiquer le chômage et la précarité.

Messages de ce forum :
par Avenir le 18/07/06

Le principal problème du chomage est du à ce principe du capitalisme qui est la recherche du profilt,c’est à dire de faire toujours plus de profilts :c’est le "non-limites".Par ailleurs cela entraine la surproduction donc la polution.

Je m’explique : tout d’abord la cause du chomage actuelle remonte à la crise industrielle qui commence dans les années 70 :les entreprises du secteur secondaire voyant que la vie devient de plus en plus cher,que le prix du pétrole augmente fortement et que la concurence est de plus en plus importante(Ses prix sont moins cher) Ces entreprises decident,par principe capitaliste de délocaliser ou de faire de la reconversion afin de faire autant voir plus de bénefices et de stabiliser les prix pour ne pas freiner la consommation :c’est le chomage dit classique .Ainsi en dix ans on arrive à plus de un milion de chomeurs en outre les PME qui avaient auparavant ces gens la pour clients font moins de bénefices puisque ils ne peuvent plus consommer !La demande diminue !Par conséquent elles licensient à leur tour :c’est le chomage dit frictionelle.Et ainsi de suite pendant 10 ans.

Aujourd’hui la demande a stagné donc le chomage diminue ou augmente légèrement.Nous sommes dans en plein chomage frictionnel(demande/offre). Il faut donc creer un dynamisme economique en investissant dans d’autres secteurs tels que l’informatique,la haute-technologie.

Enfin dans environ vingt ans notre société de consommation ne pourra plus exister par manque de moyens (pétrole,ect..)imaginiez ce que sera la rupture envers le capitalisme...Et donc le renouveau en ce qui consèrne l’emploi.

par le butineur le 24/06/06

Vu sur le site http://www.actuchomage.org

Des mythes autour de l’emploi

En dehors d’un contexte bien particulier, la "croissance" ne crée pas d’emplois. Seule une réduction ample, immédiate, impérative du temps de travail, associée à une extension du secteur public (qui ne se limite pas aux fonctionnaires) et du secteur coopératif, permet de résorber les 5 800 000 chômeurs réels (en équivalent temps plein).

Depuis plus de quarante ans le chômage n’a cessé d’augmenter, excepté pour de rares périodes. En 1964 la France comptait 251 400 chômeurs, au sens du Bureau International du Travail (BIT) et en moyenne annuelle, pour 19 709 600 personnes actives occupées (ayant un emploi).

En 1992, pour une croissance de la valeur ajoutée de 1,17 %, l’emploi a diminué de 136 100 (-179 700 en emplois réels, du fait d’une forte progression de l’emploi à temps partiel) alors qu’en 1991, pour une croissance voisine (1,10 %), l’emploi a augmenté de 45 500 (+67 100 emplois réels).

En 1994, pour une croissance forte de 2,75 %, l’emploi a diminué de 8 900 (-95 600 emplois réels) car la productivité a augmenté davantage (2,79 %) pour une durée annuelle identique du travail. En 1995, avec une croissance plus faible (2,10 %) de la production, l’emploi a augmenté de 268 000 (+201 600 en réel, forte augmentation du temps partiel) car la productivité a très peu augmenté (0,88 %) pour la même durée du travail.

Au début des années 70, la croissance était sensiblement supérieure à celle d’aujourd’hui. De 1970 à 1974, en quatre ans, la valeur ajoutée a progressé de 18,83 % et la productivité de 19,15 %, valeur légèrement supérieure. Si l’emploi a cependant progressé de 742 000, soit 3,60 %, c’est que la durée annuelle du travail a diminué de 3,73 % (de 1821 à 1753 heures). Le chômage a malgré tout augmenté car la population active progressait plus vite que la création d’emplois.

Ce n’est donc pas une forte "croissance" qui crée de l’emploi mais une différence positive importante entre la croissance de la production et celle de la productivité, comme pour les années 1988-89 (1,5 %) et dans une moindre mesure 1987 et 1990, ou une forte diminution de la durée du travail, comme entre 1970 et 1974.

Pour une durée constante du travail, seule une évolution de la valeur ajoutée supérieure à celle de la productivité entraîne une création nette d’emplois (nombre d’emplois créés, à durée du travail identique, supérieur à celui des emplois détruits). Plus généralement, l’évolution de la valeur ajoutée est égale au produit des évolutions de la productivité, de la durée du travail et de la population active occupée. Autrement dit, l’emploi (population occupée) augmente uniquement si la production (valeur ajoutée) augmente plus vite que le produit de la productivité par la durée du travail.

En 1994, malgré une croissance importante de la production (2,75 %), 8 900 emplois ont été perdus. La perte d’emplois réels est de 95 600 du fait de l’augmentation de 219 200 des emplois à temps partiel.
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Un autre mythe aussi se développe selon lequel, à partir de l’an 2006, la population active diminuerait, résolvant ainsi le problème du chômage. Effectivement, selon les projections de l’Insee et dans l’hypothèse moyenne, la population active atteindrait un sommet en 2006 (ou 2010 - 2012 selon des estimations plus récentes). Ensuite, la population active diminuerait d’abord très lentement (251 200 en moins après dix ans), puis lentement pour ne retrouver qu’en 2032 le niveau de 1996 et en 2040 celui de 1994. C’est une imposture de présenter ce facteur bien modeste comme une solution naturelle au chômage ... très partiellement et dans quarante ans.
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Enfin, ce ne sont pas les salariés payés au voisinage du smic qui coûtent trop cher aux entreprises. Le décile (10 %) des salariés les moins payés représente 4,9% de la masse salariale, alors que le décile des salariés les mieux payés représente 22,7 % de cette même masse, soit 4,63 fois plus. D’un autre point de vue, le salaire minimum du centile (1 / 100) le plus élevé des salaires, est 7,60 fois supérieur au salaire maximum parmi les 10 % de salaires les plus faibles. ... Comme on le constate, les "personnels non qualifiés" ne sont pas la cause principale des "trop lourdes charges salariales" des entreprises.

Pour plus d’informations, voir à cette adresse :

http://travail-chomage.site.voila.fr/ancien/mythes.htm

par joel 67 le 21/04/06
Pour l’instant, nous sommes toujours dans un système capitaliste. Nous ne connaissons pas encore autre chose que de réguler, avoir des droits qui limite les abus des plus riches sur les plus pauvres. C’est ce que l’on appel l’état régulateur. Quelques soit les solutions, emploi subventionnés de gauche (ex, emploi jeunes...) ou emploies subventionné de droite (CPE, CNE....) le problème de cette société qui supprime des emplois est à résoudre. On ne créer pas des emploi en donnant des subventions aux patrons. Pour relancer l’éconnomie, ne pensez vous pas qu’il faille une politique économique ambitieuse ? Que cette solution est aussi européenne. Que pour cela il faille remettre en cause en europe ce pacte de stabilitéet ce carquant de la politique économique européenne définie par la BCE. J’ai le sentiment que les libéraux nous encèrent volontairement dans un étaux pour mieux rendre gorge de notre protection sociale .
par guy queytan le 04/02/06
Je viens de créer un forum politique sur Istres (13800) Votre avis m’interesse @+ cordialement
le 28/12/05

la lutte contre la précarite me parait être un enjeu considérable pour une société plus juste

j’étais élue maire adjoint dans une ville du TARN quand le préfet nous a réuni en 1982 pour l"instauration des TUCS ceux-ci prenant fin à 25 ans il avait déclaré sans rire qu’à vingt cinq ans les femmes se marriaient et n’avaient plus besoin de travailler les deux femmes élues communistes de l’assemblée avaient été seules a réagir .On ne construit rien sur des lendemains incertains, pas de formation, pas de famille, même l’amour est incertain on ne structure pas des individus avec des emplois a temps partiel durée incertaine.

je pense aussi que la proposition du¨PCF développée par Georges Marchais à la télévision fort brillamment, il n’avait pas que des défauts, de réduire l’écart des salaires de un à cinq étaient très équitables. Cependant pour la réactualiser j’ajouterai le rapport des actions et autres stocks-options. Je travaille à FRANCE TELECOM ou le salaire des dirigeants et autres hauts actionnaires atteint des sommets.

D’autre part j’aimerai qu’il s’instaure dans le monde du travail un débat sur l’actionnariat et le salariat. j’ai connu des cdi de 25 ans qui en 1997 qu’en le capital de FT a été ouvert se sont endettés avec le concours de l’entreprise pour acheter des actions. Cet état d’esprit dénote bien une tendance à dévaloriser le salaire avec ce que ça implique de s&curité cotisations secu retraite au détriment de l’action pur produit capitaliste très aléatoire pour les petits porteurs.

Je pense que la proposition du Smic à 1400 Euros nets est réaliste mais pour cela il faut des emplois sur 35 heures en CDI . Il faut en finir avec la flexibilité des horaires qui déstructure la vies des familles bi ou monoparentales et ôte tout moment de retrouvailles dans la soirée. La lutte pour la sécurite passe par une vie associative riche ainsi qu’une vie politique animée la soirée est faite pour cela pour la culture aussi. La mobilité géographique dans les entreprises doit être abandonnée de même le rapprochement des conjoints et concubins et pacsés doit être la règle . La société doit s’adapter à l’humain le travail doit être facteur d’épanouissement et non de stress et de harcélement et de sexisme.

par Benoit LEPLUMEY le 30/11/05

Loin d’être un forçat (on dit plutôt que j’ai un poil dans la main), je trouve que le travail est une chose importante !! mais qu’appelle-t-on travail ? moi je considere que le travail est un effort contraignant, physiquement ou moralement, qui aide au bon fonctionnement de la société, et plus précisement apporte quelque chose de concret a cette derniere. Donc si j’éclaircis l’idée, je dirais que seul sont travails les emplois manuel (en usine , artisanaux,...bâtiment....), et les service d’aides aux personnes (infirmiers, pompiers, ......), donc cela exclus les métiers artistiques, sportif, et tous ce qui ce rapproche plus du loisir que du travail.

En lisant cela on pourrait penser que je banni toute idée d’expression artistique et les loisirs, mais pas du tout, en continuant cela deviendra plus clair.

Ce travail dont je parle devrait être reparti entre tout le monde pour libérer l’homme lui même de ça contrainte. Tout d’abord pour bien le répartir il faut enlevé tous les postes inutiles, en réduisant le nombre de marques produisant exactement la même chose (ce qui créer un stockage et des pertes considérable de matières,NATIONNALISATION DE LA PRODUCTION, (ça fais peur !!! faut pas))), en robotisant, et mécanisant le plus possible, et en produisant ce dont les gens ont réelement besoin (derrière ça il ne faut pas voir une restriction des choses mais bien des productions a flux tendu qui répondent à la demande).Là il faut bien entendu pas oublier les travaux de services aux personnes.

Ce déblayage des postes inutiles étant faite, la répartition peut être faite entre tous les actifs, selon leur capacitées réelles.Cela donne un nombre d’heures de travail par personne ennormement réduit quelques heure par mois, et libère l’homme pour qu’il puisse faire d’autres activités (sportives,artistiques....)

Là un tollé général doit monté en puissance, "MAIS CELA VA REDUIRE LES SALAIRES". auquel je réponds : "Non, et au contraire, car dans ce systeme où la production est elle aussi répartit équitablement entre tous le monde il n’y a plus besoin de salaire n’y et surtout d’argent." On garantis a tous un toit, à manger tous les jours et tous le confort necessaire à la vie moderne, en contrepartie d’un travail obligatoire, qui se revèle minimale en raport.

En résumé : C’est en répartissant au maximum les tâches contraignantes et nécessaires que l’on libère l’homme a des activités plus ludiques et qu’il pourra s’élever encore d’avantage dans son développement. (et oui en laissant celui que l’on concidère aujourd’hui comme un bédà (beaucoup le pense des ouvriers ou autres), l’on pourrais être surpris de son intelligence et de ça capacité a inventer etc....)

par jean claude 40 le 11/12/05
Tou ça c’est bien.Mais une question se pose avec accuité :comment créer des emplois.Comment mettre la recherche au service de tous en créant des emplois.La connaissance est indispensable au emplois de demain,comment la diffuser. Tout ça c’est un peu fouilli(ma prose) mais la réduction du temps de travail ne suffira pas.Tous les problémes de,santé,recherche,education,se retrouvent avec celui de l’emploi. J’avoue que mes idées ne sont pas trés claires à ce sujet. Au dela de la revendication,que faire ?
par Benoît Leplumey le 15/12/05
Vous avez fais une remarque tous a fait vrai, tous les problemes recoupent. il faut donc tout remanier ( ce sera un chantier enorme mais quand on veux on peu). Pour l’éducation, il faut stimuler beaucoup plus l’intellecte des élève, et ce très tôt, par des exercices beaucoup plus concret, sans leur bourrer le mou par des formules inutiles, ou qui ce reveleront fausse au fur et à mesure des études, mais plutot leur donner les moyens de les utiliser, ce qui revelera beaucoup plus de chercheur car beaucoup comme moi en on eu marre d’appliqué inutilement des formules abstraite. Pour ce qui est des langues ils faud faire de meme, en permettant au élve de pratiquer les langues. En parallèle de cet éducation il faud apprendre a chacun un ou plusieurs métiers manuelle, ou de santé qui sera le travail obligatoire. Je crois vraiment que le partage du travail nécéssaire entre tous les actifs, il faud bien quelques saccrifice et un peu d’humilité de la part de tous, permettra de faire tournée la société et donnera l’égalité a tous. Mon modèle de société est peu etre pas totalement parfais ou au point, mais les discussion permettrons de l’améliorer.
par lolo caux le 24/11/05

Et si on proposait un salaire de 1700 euros net par mois dès demain (décembre 2005) à plus de 2 millions de personnes au chômage... Utopie ? pas sûr... A vos calculettes...

Pour l’année 2004, l’état à dépensé en France 74 096 millions d’euros pour l’emploi (voir source INSEE sur ce forum)

Un salaire net mensuel de 1700 euros revient à (1700x12)+ 12 036=33 436 euros brut par an pour l’employeur. (les 12 036 euros représentent les 59 % de charges sociales)

On divise maintenant 74 096 millions par 33 436 et on obtient :

2 216 054 salaires

Bien entendu : 1)On a les salaires, il faut trouver les emplois... est-ce si difficile ?..

2) 1700 euros représente une base moyenne et peut-être modulé. Il semblerait cependant important de définir un salaire minimum en fonction des besoins (et pas seulement vitaux) des gens ; un salaire maximum étant de ce fait tout aussi logique.

3) la résorbtion du chômage n’irriterait-elle pas le patronat pour qui le chômage de masse est pain béni ( vivier de chair fraîche, salaires à la baisse, pression etc...) ?

jeux ! Vous pouvez vous amusez à calculer le retour en impôts, cotisations, taxes diverses de ces personnes qui retrouvent un salaire et notamment des cotisations de sécurité sociale....

par Jean Ploi le 24/12/05

Le calcul peut être discuté (en particulier surle pourcentage des cotisations sociales par rapport au salaire net qui est un peu plus élevé) mais le raisonnement est excellent ! J’y souscris à 100%

Parlons argent, conditions de vie, si nous voulons rassembler !

La politique de l’emploi actuelle consiste à utiliser l’argent public pour faire baisser le prix du travail. Cette baisse du prix du travail est présentée comme le moyen de réduire le chômage alors qu’elle est le véritable objectif.

On est là au coeur du problème et je pense que nous devrions concentrer nos forces pour faire remonter le prix du travail :

1. dénoncer le caractère anti-social de la prétendue politique de l’emploi actuel, comme tu l’as fait 2. susciter un mouvement social de grande ampleur pour obtenir des hausses significatives de salaires.

Compte tenu de l’urgence de rassembler, je pense qu’il faudraitpartir sur l’idée d’augmentation générale et uniforme des salaires (300 euros net par mois).

par Jiba le 22/11/05

Les patrons français sont parmi les mieux payés au monde. Je propose donc d’instaurer un "salaire maximum". Cela couperait net aux salaires indécents d’une minorité de personnes (patrons, artistes très connus,...).

De plus, en réduisant l’écart entre le SMIC et ce salaire maximum, on pourrait réduire petit à petit les écarts entre les salaires, voire aboutir à un salaire unique.

par Gonzague le 20/04/06

Un salaire unique n’est pas la bonne solution selon moi... Le salaire est là pour valoriser un travail, des études, etc. (dans un système capitaliste). Or, aboutir à un salaire unique serait perçu par beaucoup comme un appel à l’oisiveté et par d’autres comme la négation de la valeur de leur travail. Certains arrogants considéreront aussi - ça existera toujours - qu’ils valent plus que les autres et il aura une pression forte pour gagner plus. Pression qui pourrait se factualiser pour les puissants.

Pour moi, la question du salaire cache une autre question : celle de la monnaie. Un communisme véritbablement égalitaire ne pourra pas tenir - à cause de la cupidité des hommes, entre autre - si un système monaitaire y est présent.

le 18/11/05

* Plein-emploi

Pas de vraie démocratie sans plein-emploi. Chacun doit trouver un emploi dans un domaine d’activité de son choix. Le Plan doit permettre de former et de préparer la réaffectation les travailleurs employés dans un secteur en perte de vitesse en évitant les soubresauts et virages brutaux du mode de production capitaliste, qui jettent des millions de travailleurs à la rue au gré des aléas du marché. Les flux migratoires doivent être régulés, en accord avec les pays concernés, pour éviter les brusques fluctuations de main d’œuvre. Si l’appel à des travailleurs immigrés pour combler un déficit de main d’œuvre dans un secteur est décidé, l’emploi est garanti automatiquement à ces travailleurs, aux mêmes conditions que pour les autres, bien entendu.

* « A chacun selon son travail »

Ce principe socialiste doit permettre de réduire encore les écarts de revenus de manière générale. Le droit au travail et au logement ne doit cependant pas permettre aux parasites de vivre aussi bien que les travailleurs, faute de quoi la démotivation gagne ces derniers, et la productivité chute tellement que, non seulement la société d’abondance devient inaccessible, mais des pénuries peuvent s’installer. La rétribution des individus doit dépendre du travail fourni. Il est illusoire de vouloir supprimer du jour au lendemain les stimulants matériels alors que l’intéressement individuel qui caractérise le capitalisme a influencée les comportements humains pendant des siècles. Pour dépasser cela, c’est-à-dire tenir compte de cette réalité tout en travaillant à s’en affranchir, l’utilisation de stimulants matériels collectifs et non monétaires (équipements, loisirs, amélioration des conditions de travail...) doit être privilégiée.

extrait du programme du PRCF  : www.initiative-communiste.fr

par pourqoipas le 14/04/06

Le travail est à considerer comme une matière première.. L’entrepreneur doit l’acheter au prix du marché. Mais on ne peut laisser l’individu seul face au capitalisme.. la lutte est inégale. La relation du capital et du travail date de la nuit des temps depuis qu’un homme en a utilisé un autre pour récolter. La mondialisation nous amène à envisager la redistribution des biens à l’echelon de la planète.. donc pendant très longtemps encore nous aurons des hommes entreprenants désirant faire du profit,et desireux d’utiliser les travailleurs suivant leurs necessités..

Devant tous ces paramètres ... une proposition :

Le capital doit acheter le travail non pas à l’individu seul, mais à une centrale regroupant l’ensemble de la force de travail. C’est cette centrale qui gère et rénumère le travail fournit. Elle assure la compétitvité du travail au prix du marché et la flexibilité, mais elle garantie le travailleur dans son parcours professionnel.. éducation, formation, securité. Cette centrale doit être.... décentralisée, repartie sur les bassins d’emplois et garantie par l’état. La gestion est paritaire patronnat/travailleurs.

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Le : 09.11.2005
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