De nouveaux pouvoirs d’intervention des salariés sur les choix stratégiques. Droit pour les CE et les comités de groupes de faire suspendre tout plan social afin de présenter des projets alternatifs ;
Un nouveau statut des grandes entreprises, qui ne peuvent être réduites à des sociétés d’actionnaires, permettant d’organiser un partage des pouvoirs avec les salarié-e-s et les élu-e-s concernés (du local au national) juqu’à la définition des orientations stratégiques ;
Mise en place de commissions de contrôle des fonds publics aux niveaux régional et local avec des syndicalistes, des élus, des représentants
associatifs ;
Mise en place de nouvelles règles de négociation collective : les accords doivent être signés par des organisations syndicales représentant une
majorité de salariés.