• En revenant sur toutes les privatisations, et ouvertures à la concurrence qui ne sont qu’un prélude au démantèlement.
• En abrogeant la loi Fillon qui met en péril le droit à l’éducation.
• Dans le domaine des transports, de l’énergie, des télécommunications et de la Poste, de la santé, de l’éducation, la défense des services publics face aux volontés de marchandisation, leur développement en fonction des besoins sociaux en zone urbaine et rurale, c’est la garantie de l’accès pour le plus grand nombre.
• Cela impose que les populations exercent leur contrôle. Qu’elles déterminent localement l’ensemble des besoins non satisfaits et que cette définition s’accompagne des créations d’emplois et d’ouvertures de
classes, d’hôpitaux, de lignes de transport nécessaires, le développement de services publics d’accueil des enfants et d’accompagnement des personnes
âgées ou dépendantes, l’arrêt des menaces de fermetures des écoles maternelles, le maintien et le développement des centres d’interruption volontaire de grossesse. Dans le même sens, les services de distribution
de l’eau doivent tous revenir sous propriété et contrôle public, par l’expropriation de Vivendi.