Ce travail sur l’agriculture sera sans effet si la population ne se rend pas compte des abus que la société de surconsommation les incite à faire. Il est clair que les modes de productions agricoles doivent se couper de la logique productiviste, mais si seul la façon de produire change, la situation sera désastreuse tant au plan économique qu’humain et écologique.
Il serait bon d’amener le peuple à se soucier de ce qu’il mange, de comment il mange, de pourquoi il mange, avant de boulverser les modes de production.
L’exemple de l’Agriculture Biologique est explicite. Il s’agit d’une démarche parallèle entre des consommateurs et des producteurs, chacun n’étant pas satisfait des mode de productions conventionnels, et mettant au point les systèmes de production alternatifs, mais aussi les système de commercialisation alternatifs. Il ne peut y avoir de réussite si seulement un des deux acteurs et y sensibilisé.
Par ailleurs, je tient aussi à faire remarquer que l’Agriculture Biologique est souvent montré comme un système qui permet à une classes aisée de se nourir sainement du fait du prix. laissant les classe moyenne se nourir avec les produits de moindre qualité fournis par la grande distribution. Mais je pense que plus que le prix, c’est la chance d’avoir le temps, l’opportunité de penser à mieux manger qui fait se diriger les classes aisées vers la nourriture saine.
Il faut que chacun, fasse l’effort.
les politiques en mettant en place un système d’aide à l’installation des agriculteurs qui se dirige vers une agriculture saine, tout en ne plongeant pas les agriculteurs conventionnels dans les dettes
changer l’enseignement agricole
réorienter les recherches agronomiques
sensibiliser les agriculteurs aux problème environnementaux
sensibiliser les consommateur à ce qu’est un aliment, à ce qu’est la nutrition, à ce qu’est l’agriculture.
changer les circuits de commercialisation avec la participation des consommateurs.
voili voilo